[USA] Le terrorisme c’est bon à vrai dire.

Vu sur Never Sleep

7 août

On a défoncé les vitres d’un Ralph Lauren sur Madison Av. pour leur soutien au génocide perpétré par Israël. Ralph Lauren opère des boutiques en Israël et a fait face à des appels à boycotter son partenariat avec L’Oréal, un « ami chaleureux d’Israël ».

On a ciblé le cœur de l’Upper East Side parce que les sales riches qui vivent là se sentent immunisés contre la mort et la violence qui soutiennent leur mode de vie comme un fonds monétaire. Ces élites capitalistes américaines dorment saines et sauves dans leurs lits tandis que la machine de guerre US lance des pluies de bombes et facilite le génocide et la souffrance partout dans le monde pour se remplir les poches. Les politiques et les organisations électorales ne font qu’affiner et perfectionner ce système, donc grandissez et foutez la merde. Brisez leur silence assoifé de sang et terrorisez les riches. MANGEZ LES.

Ralph Lauren est aussi un « fier supporter de la team USA » et le designer officiel de leurs uniformes olympiques. La team USA porte ses vêtements pour représenter l’impérialisme US et la cupidité capitaliste au monde. Les J.O. permettent à Israël et ses soutiens les USA à concourir comme si les 10 derniers mois de génocide n’avaient jamais eu lieu. Fuck les J.O., fuck le sionisme, et fuck toute nation. Eh bien on a brisé le fier étalage sans vergogne de Ralph Lauren de la propagande nationaliste US, et on continuera a briser les symboles de l’empire US partout.

Envoyé anonymement par mail.

Continue reading [USA] Le terrorisme c’est bon à vrai dire.

À propos du sabotage coordonné contre le réseau de fibre optique en plein J.O.

Vu sur Sans nom

Alors que la SNCF commence tout juste à se remettre du sabotage contre le réseau des trains à grande vitesse, les Jeux Olympiques  de Paris 2024 ne semblent pas au bout de leurs peines, puisqu‘un nouveau «sabotage massif» s’est produit la nuit de dimanche à lundi 29 juillet, en frappant cette fois le réseau longue distance de la fibre optique à haut-débit (backbone).

Concrètement, entre 1h et 3h du matin, des autoroutes numériques de la fibre optique ont été volontairement coupées dans au moins dix départements (Ain, Aude, Ardèche, Drôme, Hérault, Bouches-du-Rhône, Oise, Marne, Meuse, Vaucluse), avec de vastes conséquences, puisque la section de ces câbles du réseau longue distance de l’opérateur d’infrastructure SFR a impacté de nombreux autres opérateurs telecoms. Parmi eux, on peut citer notamment Free, Bouygues, Orange (prestataire télécoms des JO de Paris 2024), TDF, OVH, SFR, Netalis, Axione mais aussi Vodafone, British telecom et Colt (opérateur britannique desservant 28 pays européens).

Mardi 30 juillet, l’estimation officielle était ainsi de 195 antennes-relais touchées par ces sabotages, et au moins 17 départements qui avaient éprouvé des problèmes, allant de la coupure internet à une latence plus élevée que d’habitude (dont l’Oise, les Bouches-du-Rhône, la Meuse, la Drôme, l’Aude, l’Hérault, la Seine-et-Marne, l’Essonne, l’Ain, l’Allier, la Vendée, l’Ardèche, la Loire, la Creuse et le Lot-et-Garonne). Et pour illustrer ce que signifie une latence élevée, soit un fort ralentissement de la connexion internet, un geek a publié sur un site spécialisé le trajet effectué par ses paquets de données : «Pour faire Lyon (Orange) <> Roubaix (date center OVH), Les données font : Lyon → Marseille → Singapour → Canada → Londres → Roubaix»…

Ainsi, avec cette série d’attaques, c’est autant la circulation haut-débit de données internet par la fibre optique nationale et internationale, que la téléphonie mobile (avec des centaines d’antennes-relais reliées entre elles par la fibre) ou que le trafic vers les data centers qui sont fortement ralentis ou carrément interrompus depuis ce lundi 29 juillet, malgré tout le bla bla des spécialistes sur la redondance des réseaux.

Continue reading À propos du sabotage coordonné contre le réseau de fibre optique en plein J.O.

[USA] Résistance aux Essais Olympiques à Eugene

« Vos Jeux Olympiques financent le génocide des Palestinien.ne.s »

Vu sur dingueries

Initialement publié sur Neighborhood Anarchist Collective, le 07/07/2024.

Les essais olympiques d’athlétisme ont eu lieu en Territoire Kalapuya, à soi-disant Eugene, du 21 Juin au 30 Juin. Durant toute la durée des essais, la résistance a pris la forme de marches et d’attaques contre les symboles de l’impérialisme et des jeux olympiques à travers la ville. Des communiqués ont été reçu sur deux actions autonomes qui ont eu lieu tôt le 27 Juin :

Continue reading [USA] Résistance aux Essais Olympiques à Eugene

[Brochure] Nolympic City : Contre la candidature d’Amsterdam aux Jeux Olympiques et Paralympiques d’été 92

affiche d'époque AMSTERDAM NOLYMPIC CITY

mosaïque de photos N&B sur fond noir montrant une rue en feu, des flics anti-émeute, une banderole antiJO, un bateau de tourisme schlagé

À télécharger sur Indymedia Lille

Ce texte a été publié en 1991 dans le zine NN, soit Nomen Nescio (« nom inconnu ») la locution latine utilisée aux Pays-Bas par les flics pour désigner une personne sous X. Il fait le récit de luttes qui, entre 1984 et 1986 à Amsterdam, ont chahuté la ville dans sa candidature pour accueillir les JOP d’été 1992.
Le Comité International Olympique (CIO) désigne une ville hôte plusieurs années avant chaque édition. Les sélections pour 92 s’ouvrent donc au milieu de la décennie 1980, période riche en mouvements de contestation très affirmés en Hollande, notamment autour des squats, milieux autonomes et révolutionnaires, contre par exemple la gentrification, l’apartheid ou encore les politiques d’immigration.
La candidature finira par être rejetée, au bout de deux années d’agitations audacieuses.

« Nolympics » semble avoir été repris plusieurs fois depuis, pour désigner les antagonismes au CIO dans différentes régions du monde, lorsqu’il compte y mettre les pieds.

Continue reading [Brochure] Nolympic City : Contre la candidature d’Amsterdam aux Jeux Olympiques et Paralympiques d’été 92

Le kiosque info des JO à Teahupo’o vandalisé !

Brève de France-Info

Teahupo’o, commune de Tahiti, est le lieu choisi pour accueillir les épreuves de surfs lors des JO de Paris 2024. Mais l’aménagement du site pour 1500 spectateurs, et la construction d’une tour des juges en aluminium avec un socle en béton et une canalisation sous-marine qui doit passer dans le lagon sur 800 mètres pour alimenter la tour depuis le rivage est contesté par de nombreux habitants.

LIRE LA SUITE